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Littérairement incorrect
Christophe Lartas


Réactions d'un réactionnaire 14
Les gaullistes, après guerre, ont commis une impardonnable erreur en laissant aux mains de la gauche folle la gestion des écoles, de l’université, et de la culture, ce qui a permis aux forces progressistes de formater des générations d’individus en leur inculquant la haine de la France, et de son histoire, au profit de l’amour pavlovien de tout ce qui est antagoniste à notre civilisation.
christophe lartas
19 sept.3 min de lecture


Réactions d'un réactionnaire 13
Tandis qu’en Europe de l’Est des peuples slaves s’entretuent, tandis qu’en Europe de l’Ouest des imbéciles anglais, américains et français, soufflent sur les braises en voulant jouer les Docteur Folamour ; bref, tandis que le continent européen, égal à lui même, se voue à l’autodestruction,
christophe lartas
19 sept.2 min de lecture


Réactions d'un réactionnaire 12
Les athées des lumières et leurs successeurs, ainsi que les nihilistes de la modernité ou les adorateurs de l’Homme-Dieu, ont décrété la
christophe lartas
19 sept.2 min de lecture


Les choses de l'esprit 9 (Spiritualité)
Personne ne devrait se laisser abuser et manipuler par les faux spirituels de ces temps, fussent-ils légion (particulièrement dans l’Occident décadent et son immonde classe li-li bo-bo). La spiritualité n’est pas un domaine réservé à quelques uns — mystiques de théâtre, supraconscients de prisunic, bouddhistes de pacotille, philosophes pour pétasses égocentriques, et cetera — et à leurs bêlants et stupides « disciples », tout aussi hypocrites et narcissiques.
christophe lartas
10 août3 min de lecture


Les choses de l'esprit 8 (Spiritualité)
La suprême inversion satanique des valeurs : mentir, voler, détruire, violer, assassiner, massacrer, au nom de Dieu. L’ordinaire inversion satanique des valeurs : mentir, falsifier, vandaliser, censurer, incarcérer, assassiner, exterminer au nom de l’Homme.
christophe lartas
10 août2 min de lecture


Apostrophe aux éternels antisémites français et européens, collaborationnistes et futurs dhimmis de de l’islam totalitaire
Naguère, je pris peu à peu conscience que moi, français contemporain, j’allais sans doute revivre, ou plutôt revivais déjà, ce qu’avaient vécu les Grecs de la Grèce antique et les Romains de la Rome antique. Mais, jusqu’il y a peu, je n’aurais pas cru que j’allais revivre ce qu’ont vécu les Allemands des années 30.
Avec l’immigration arabo-africaine, en grande partie musulmane, voulue par nos « élites » françaises et européennes perverses et dégénérées,
christophe lartas
27 juil.11 min de lecture


Liste de mes films historiques, d’aventure et de guerre, de chevet (dans la limite de mes connaissances et sans véritable ordre de préférence)
Les Sept Samouraïs (1954), Akira Kurosawa
Le Château de l’araignée (1957), Akira Kurosawa
Ran (1985), Akira Kurosawa
Rashômon (1950), Akira Kurosawa
Kagemusha, l’Ombre du guerrier (1980), Akira Kurosawa
Aguirre, la Colère de Dieu (1972), Werner Herzog
Fitzcarraldo (1982), Wernez Herzog
Délivrance (1972), John Boorman
christophe lartas
24 juin2 min de lecture


Georges Simenon : monsieur Tout-le-monde en ville, génie universel devant la page blanche 4
Alors dirai-je que Georges Simenon est « le plus grand romancier de tous les temps », pour en revenir à ces histoires de hiérarchies qui n'ont plus lieu d'être? Oui, certainement oui.
À partir du moment où vous ne considérez plus les passages philosophiques, métaphysiques, voire historiques, d'un roman, comme une manifestation essentielle de ce qui fait la grandeur ou la profondeur d'une œuvre, quelle que soit par ailleurs la beauté, la profondeur ou la justesse de ces passa
christophe lartas
22 juin5 min de lecture


Georges Simenon : monsieur Tout-le-monde en ville, génie universel devant la page blanche 3
J’ai parlé auparavant de Dostoïevski, Tolstoï ou Balzac, romanciers de génie, romanciers à la puissance inégalée et inégalable (ceci dit sans jugement de valeur : tout écrivain étant prédestiné à trouver un certain type et un certain nombre de lecteurs, ni plus ni moins). Je pourrais également parler de Zola qui, quoique n’ayant sans doute pas le génie de Balzac (outre que ses personnages, s’ils n’ont certes pas la démesure parfois surréaliste des figures balzaciennes,
christophe lartas
21 juin5 min de lecture


Georges Simenon : monsieur Tout-le-monde en ville, génie universel devant la page blanche 2
Parvenu à un âge, ou, disons, à un état d’esprit, où les certes toujours réjouissantes considérations philosophiques ou envolées métaphysiques de mes romanciers de chevet ne m’en imposent plus, me fiant depuis un certain temps seulement à ma propre intuition (cette intuition qui nous relie bien mieux à la profondeur du Soi que toutes les singeries cérébrales de ce bas-monde),
christophe lartas
21 juin3 min de lecture


Miniatures, micro-récits
Il est des temps où les nantis ne se satisfont plus de régenter le monde dans sa totalité, affirmait Gracchus Babeuf quelques mois avant
christophe lartas
20 juin2 min de lecture


Miniatures, micro-récits
Staline disait au sommet de sa puissance et de sa gloire qu’à la fin, c’est toujours la Mort qui gagne, et qu’à l’orée de la vieillesse nos
christophe lartas
20 juin2 min de lecture


Miniatures, micro-récits
La guerre planétaire entre l’humanité déliquescente et les blattes en cours de mutation se poursuivait depuis deux mille ans,
christophe lartas
20 juin2 min de lecture


Moi, Macron 1er le Pervers, anti-roi de France et Antéchrist d’Occident
Moi, Macron 1er le Pervers,
anti-roi de France, et souilleur fort satisfait de sa grandiose histoire avec mes historiens wokes et gauchistes, de ses paysages avec les éoliennes, de son honneur et de sa gloire avec mes ministres aussi médiocres qu’insignifiants, risée des diplomates étrangers,
Antéchrist d’Occident, et planificateur d’une guerre suicidaire et fratricide avec la Russie afin, sinon de garder le pouvoir pour nuire ad vitam æternam à la France,
christophe lartas
18 juin5 min de lecture


Liste de mes westerns de chevet (dans la limite de mes connaissances et sans ordre de préférence)
Il était une fois dans l’Ouest (1968), Sergio Leone
Le train sifflera trois fois (1952), Fred Zinnemann
Règlement de comptes à O.K. Corral (1957), John Sturges
L’homme aux colts d’or (1959), Edward Dmytryck
Le Bon, la Brute et le Truand (1966), Sergio Leone
Et pour quelques dollars de plus (1965), Sergio Leone
La Poursuite infernale (1946), John Ford
Seuls sont les indomptés (1962), David Miller
Les Grands Espaces (1958), William Wyler
christophe lartas
13 juin2 min de lecture


Liste de mes films fantastiques (horreur, épouvante, merveilleux, thriller) de chevet (dans la limite de mes connaissances et sans véritable ordre de préférence)
Freaks (1932), Tod Browning
La Belle et la Bête (1946), Jean Cocteau
King Kong (1933), Ernest B. Shoedsack et Merian C. Cooper
Eraserhead (1977), David Lynch
Elephant Man (1980), David Lynch
Nosferatu, une symphonie d’horreur (1922), Friedrich Wilhelm Murnau
Massacre à la tronçonneuse (1974), Tobe Hooper
La Nuit des morts-vivants (1968), George A. Romero
christophe lartas
12 juin1 min de lecture


Georges Simenon : monsieur Tout-le-monde en ville, génie universel devant la page blanche 1
Je n’ai pas lu Simenon avant d’avoir passé le cap des vingt-cinq ans, si mes souvenirs sont bons, bien que j’avais beaucoup apprécié, enfant, Les Enquêtes du commissaire Maigret, avec jean Richard. Ce fut toutefois la série télévisée avec Bruno Crémer, Maigret, qui évoquait de si belle manière les atmosphères nordiques en clairs-obscurs brumeux ou pluvieux, ou les lumières à la fois tamisées et épaisses des bars du Nord
christophe lartas
11 juin2 min de lecture


Liste de mes films policiers, et de gangsters, de chevet (dans la limite mes connaissances et sans véritable ordre de préférence)
Le Parrain, partie 1 (1972), Francis Ford Coppola
Le Parrain, partie 2 (1974), Francis Ford Coppola
Le Parrain, Coda (2020, version director’s cut), Francis Ford Coppola
Il était une fois en Amérique (1984), Sergio Leone
Scarface (1983), Brian De Palma
Les Affranchis (1990), Martin Scorsese
Serpico (1973), Sydney Lumet
Un après-midi de chien (1975), Sydney Lumet
Taxi Driver (1976), Martin Scorsese
christophe lartas
10 juin1 min de lecture


Les choses de l'esprit 7 (Spiritualité)
Passé l’âge de la jeunesse (qui peut se prolonger outre mesure pour certains, dont je fis partie) et de ses folies multiples, c’est une grande chance, lorsqu’on appartient à la classe des gens pauvres (dont je fais également partie), d’avoir une vie intérieure assez intense ; vie intérieure intense qui nous rend, sinon totalement insensible, du moins en majeure partie, à ces pathologies de l’ego qui, certes, existent sans doute depuis la nuit des temps, mais ont souvent pris
christophe lartas
9 juin2 min de lecture


Fragments métaphysiques 10
Les lois universelles sont aujourd’hui tellement dénaturées, altérées, que nous pouvons voir avec stupeur, d’un côté, soit toujours plus d’hommes exagérément efféminés (avec des comportements à l’avenant), soit des hommes dont l’hyper-virilité laisse parfois aisément suspecter une homosexualité agressive, quoique en général refoulée.
christophe lartas
8 juin1 min de lecture
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