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Littérairement incorrect
Christophe Lartas


Georges Simenon : monsieur Tout-le-monde en ville, génie universel devant la page blanche 4
Alors dirai-je que Georges Simenon est « le plus grand romancier de tous les temps », pour en revenir à ces histoires de hiérarchies qui n'ont plus lieu d'être? Oui, certainement oui.
À partir du moment où vous ne considérez plus les passages philosophiques, métaphysiques, voire historiques, d'un roman, comme une manifestation essentielle de ce qui fait la grandeur ou la profondeur d'une œuvre, quelle que soit par ailleurs la beauté, la profondeur ou la justesse de ces passa
christophe lartas
il y a 8 heures5 min de lecture
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Georges Simenon : monsieur Tout-le-monde en ville, génie universel devant la page blanche 3
J’ai parlé auparavant de Dostoïevski, Tolstoï ou Balzac, romanciers de génie, romanciers à la puissance inégalée et inégalable (ceci dit sans jugement de valeur : tout écrivain étant prédestiné à trouver un certain type et un certain nombre de lecteurs, ni plus ni moins). Je pourrais également parler de Zola qui, quoique n’ayant sans doute pas le génie de Balzac (outre que ses personnages, s’ils n’ont certes pas la démesure parfois surréaliste des figures balzaciennes,
christophe lartas
il y a 1 jour5 min de lecture
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Georges Simenon : monsieur Tout-le-monde en ville, génie universel devant la page blanche 2
Parvenu à un âge, ou, disons, à un état d’esprit, où les certes toujours réjouissantes considérations philosophiques ou envolées métaphysiques de mes romanciers de chevet ne m’en imposent plus, me fiant depuis un certain temps seulement à ma propre intuition (cette intuition qui nous relie bien mieux à la profondeur du Soi que toutes les singeries cérébrales de ce bas-monde),
christophe lartas
il y a 1 jour3 min de lecture
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Miniatures, micro-récits
Il est des temps où les nantis ne se satisfont plus de régenter le monde dans sa totalité, affirmait Gracchus Babeuf quelques mois avant
christophe lartas
il y a 2 jours2 min de lecture
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Miniatures, micro-récits
Staline disait au sommet de sa puissance et de sa gloire qu’à la fin, c’est toujours la Mort qui gagne, et qu’à l’orée de la vieillesse nos
christophe lartas
il y a 2 jours2 min de lecture
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Miniatures, micro-récits
La guerre planétaire entre l’humanité déliquescente et les blattes en cours de mutation se poursuivait depuis deux mille ans,
christophe lartas
il y a 2 jours2 min de lecture
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Moi, Macron 1er le Pervers, anti-roi de France et Antéchrist d’Occident
Moi, Macron 1er le Pervers,
anti-roi de France, et souilleur fort satisfait de sa grandiose histoire avec mes historiens wokes et gauchistes, de ses paysages avec les éoliennes, de son honneur et de sa gloire avec mes ministres aussi médiocres qu’insignifiants, risée des diplomates étrangers,
Antéchrist d’Occident, et planificateur d’une guerre suicidaire et fratricide avec la Russie afin, sinon de garder le pouvoir pour nuire ad vitam æternam à la France,
christophe lartas
il y a 4 jours5 min de lecture
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Liste de mes westerns de chevet (dans la limite de mes connaissances et sans ordre de préférence)
Il était une fois dans l’Ouest (1968), Sergio Leone
Le train sifflera trois fois (1952), Fred Zinnemann
Règlement de comptes à O.K. Corral (1957), John Sturges
L’homme aux colts d’or (1959), Edward Dmytryck
Le Bon, la Brute et le Truand (1966), Sergio Leone
Et pour quelques dollars de plus (1965), Sergio Leone
La Poursuite infernale (1946), John Ford
Seuls sont les indomptés (1962), David Miller
Les Grands Espaces (1958), William Wyler
christophe lartas
13 juin2 min de lecture
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Liste de mes films fantastiques (horreur, épouvante, merveilleux, thriller) de chevet (dans la limite de mes connaissances et sans véritable ordre de préférence)
Freaks (1932), Tod Browning
La Belle et la Bête (1946), Jean Cocteau
King Kong (1933), Ernest B. Shoedsack et Merian C. Cooper
Eraserhead (1977), David Lynch
Elephant Man (1980), David Lynch
Nosferatu, une symphonie d’horreur (1922), Friedrich Wilhelm Murnau
Massacre à la tronçonneuse (1974), Tobe Hooper
La Nuit des morts-vivants (1968), George A. Romero
christophe lartas
12 juin1 min de lecture
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Georges Simenon : monsieur Tout-le-monde en ville, génie universel devant la page blanche 1
Je n’ai pas lu Simenon avant d’avoir passé le cap des vingt-cinq ans, si mes souvenirs sont bons, bien que j’avais beaucoup apprécié, enfant, Les Enquêtes du commissaire Maigret, avec jean Richard. Ce fut toutefois la série télévisée avec Bruno Crémer, Maigret, qui évoquait de si belle manière les atmosphères nordiques en clairs-obscurs brumeux ou pluvieux, ou les lumières à la fois tamisées et épaisses des bars du Nord
christophe lartas
11 juin2 min de lecture
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Liste de mes films policiers, et de gangsters, de chevet (dans la limite de mes connaissances et sans véritable ordre de préférence)
Le Parrain, partie 1 (1972), Francis Ford Coppola
Le Parrain, partie 2 (1974), Francis Ford Coppola
Le Parrain, Coda (2020, version director’s cut), Francis Ford Coppola
Il était une fois en Amérique (1984), Sergio Leone
Scarface (1983), Brian De Palma
Les Affranchis (1990), Martin Scorsese
Serpico (1973), Sydney Lumet
Un après-midi de chien (1975), Sydney Lumet
Taxi Driver (1976), Martin Scorsese
christophe lartas
10 juin1 min de lecture
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Les choses de l'esprit 7
Passé l’âge de la jeunesse (qui peut se prolonger outre mesure pour certains, dont je fis partie) et de ses folies multiples, c’est une grande chance, lorsqu’on appartient à la classe des gens pauvres (dont je fais également partie), d’avoir une vie intérieure assez intense ; vie intérieure intense qui nous rend, sinon totalement insensible, du moins en majeure partie, à ces pathologies de l’ego qui, certes, existent sans doute depuis la nuit des temps, mais ont souvent pris
christophe lartas
9 juin2 min de lecture
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Fragments métaphysiques 10
Je l’ai déjà dit ailleurs : toute idéologie est perversion des idées, et toute religion perversion de la spiritualité. Il n’est pas né encore le leader religieux ou politique qui pourrait me faire changer d’avis, fût-ce en partie.
christophe lartas
8 juin2 min de lecture
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Welcome to hell ! (Denis Montjoie aux enfers, roman)
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné dans les cacophoniques corridors de cette cité de démons où pas une seule seconde ne s’écoule
christophe lartas
8 juin3 min de lecture
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Réflexions d’un exilé intérieur (Denis Montjoie aux enfers, roman)
Condamné à la déréliction, au plus intense sentiment de déréliction, je vois les rues envahies par des salafistes et des Frères musulmans
christophe lartas
8 juin6 min de lecture
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Les choses de l'esprit 6 (Spiritualité)
Je n’irai pas jusqu’à dire que le célibat contraint de certains religieux provoque de façon automatique des actes de pédophilie ou de pédérastie puisque ces déviances sexuelles existent, semblent-ils, de toute éternité ; cependant, il n’en est pas moins vrai que cette situation contre-nature (le célibat et la chasteté contraintes)
christophe lartas
22 mai2 min de lecture
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Fragments métaphysiques 9
Lorsque j’écoute les arguments « scientifiques » de ceux qui veulent à tout prix réduire les Expériences de Mort Imminente à une sorte
christophe lartas
22 mai2 min de lecture
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La gauche-zombie et la droite-anarchie
La gauche-zombie, depuis le funeste mois de mai 1981, vole de victoire en victoire unie comme un seul homme sans esprit, sans cœur, et sans
christophe lartas
24 avr.8 min de lecture
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Réactions d'un réactionnaire 11
Le Rassemblement National et Reconquête ! ne cessent de courtiser les organisations patronales. Résultat : celles-ci, de la restauration à
christophe lartas
24 avr.3 min de lecture
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Réactions d'un réactionnaire 10
Poursuivant là-dessus, aurais-je été du côté des Versaillais qui cédèrent de façon immonde, parfaitement anti-patriotique, l’Alsace-Lorraine
christophe lartas
9 avr.2 min de lecture
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