Liste de mes films historiques, d’aventure et de guerre, de chevet (dans la limite de mes connaissances et sans véritable ordre de préférence)
- christophe lartas
- 24 juin
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 26 juin
Liste 7 Liste de films

Liste de films Liste 7
Les Sept Samouraïs (1954), Akira Kurosawa
Le Château de l’araignée (1957), Akira Kurosawa
Ran (1985), Akira Kurosawa
Rashômon (1950), Akira Kurosawa
Kagemusha, l’Ombre du guerrier (1980), Akira Kurosawa
Aguirre, la Colère de Dieu (1972), Werner Herzog
Fitzcarraldo (1982), Wernez Herzog
Délivrance (1972), John Boorman
Excalibur (1981), John Boorman
La Forêt d’émeraude (1985), John Boorman
Apocalypto (2006), Mel Gibson
La Passion du Christ (2004), Mel Gibson
Braveheart (1995), Mel Gibson
Macbeth (1948), Orson Welles
Kingdom of Heaven (2005), Ridley Scott
Les Duellistes (1977), Ridley Scott
Gladiator (2000), Ridley Scott
Les Sentiers de la gloire (1957), Stanley Kubrick
Spartacus (1960), Stanley Kubrick
Docteur Folamour (1964), Stanley Kubrick
Full Metal Jacket (1987), Stanley Kubrick
La Ligne rouge (1998), Terrence Malik
Platoon (1986), Oliver Stone
Apocalypse Now (1979), Francis Ford Coppola
Ben-Hur (1959), William Wyler
Les Dix Commandements (1956), Cecil B. DeMille
The Last Kingdom : Sept rois doivent mourir (2023), Edward Bazalgette
The Northman (2022), Robert Eggers
Le Dernier Empereur (1987), Bernardo Bertolucci
Les 12 salopards (1967), Robert Aldrich
Voyage au bout de l’enfer (1978), Michael Cimino
300 (2006), Zack Snyder
Conan le Barbare (1982), John Milius
Outrages (1989), Bran De Palma
Post-scriptum : La France, forte d’une histoire de plus de 2000 ans riche en événements historiques en tous genres (remplis de sang, de gloire, de bruit, de ténèbres et de fureur) et d’une importante industrie cinématographique, aurait dû se situer en très bonne place dans ce « palmarès ». Il n’en est rien (bien au contraire, c’est néant), puisque dès l’après-guerre 39-45 cette industrie cinématographique, sous la coupe d’une gauche culturelle, n’a cessé d’œuvrer à représenter l’histoire de France uniquement sous un prisme idéologique où tout n’est que dépréciation tendancieuse et dérision malintentionnée, en vertu d’une perverse haine de soi, et de la nation française en tant que telle, présente à tous les instants, quand il ne s’agit pas de glorifier, de façon béate et mensongère, le « progressisme » sous tous ses aspects.