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La gauche-zombie et la droite-anarchie

  • christophe lartas
  • 24 avr.
  • 8 min de lecture

Dernière mise à jour : il y a 4 jours


Politique (démences et décadences dans la France des démons) 13 La gauche-zombie et la droite-anarchie



Foule de zombis, World War Z, Marc Forster (2013°
Foule de zombis, World War Z, Marc Forster ( 2013)

La gauche-zombie et la droite-anarchie Politique (démences et décadences dans la France des démons) 13



La gauche-zombie, depuis le funeste mois de mai 1981, vole de victoire en victoire unie comme un seul homme sans esprit, sans cœur, et sans âme, mais avec la cohésion d’une fourmilière à la fois folle et grégaire, tandis que la droite-anarchie (hydre à mille et une têtes dont chacune porte son regard vers une direction différente), soumise, aplatie, oscillant entre docilité envers les dogmes libéraux-libertaires ou progressistes, et pagaille perpétuelle avec sa pathétique guerre des chefs — de petits chefs —, vole de défaite en défaite, incapable de s’unir lors des moments cruciaux, et même se déchirant les uns les autres (Jacques Chirac ne donnant pas de consigne de vote en 1981, ce qui permit l’élection de François Mitterrand ; François Bayrou affirmant qu’il voterait François Hollande en 2012 tout en ne donnant pas, lui non plus, de consigne de vote) en interne, ou, encore pire, en appliquant servilement et bêtement le « cordon sanitaire » que leur imposa avec ruse et hauteur ce même François Mitterrand, d’abord contre le Front National de Jean-Marie Le Pen en tirant le plus grand profit des stupides saillies antisémites de ce dernier ; ensuite, encore plus vain, ridicule et suicidaire, contre le Rassemblement National dirigé par sa fille, Marine Le Pen.


Cette gauche-zombie prit sans doute naissance en 1983, avec le « tournant de la rigueur » et la création de l’association soi-disant antiraciste, « SOS racisme », destinée à diviser ou à culpabiliser les Français de souche ou de branche européenne jusqu’à leur disparition définitive. Disparition définitive envisagée dans un premier temps dans le cadre d'une vaste, et flasque, Union européenne mondialiste et multiculturaliste qui aboutirait un jour, de façon inévitable avec Macron le Pervers, laquais de Georges Soros, Alain Minc et Jacques Attali, sur la mise en place graduelle (et néanmoins implacable) d'un totalitarisme progressiste en France, puis, dans un second temps, dans le contexte, toujours plus sombre, et oppressant, d'une islamisation monstrueuse et contre-nature de l’Europe, impliquant soit l'infâme état de dhimmitude, soit l'élimination irrémédiable des peuples européens d’origine.


Ce n’est pas qu’avant 1981 la gauche ne connaissait pas la folie — puisque qu’elle est d’essence religieuse, totalitaire et fanatique, depuis l’irruption de la Révolution française de 1789, elle s'avérait tout aussi dogmatique et stupide —, mais en ces temps-là, néanmoins, elle œuvrait encore réellement à améliorer les conditions de vie du peuple en général. Elle était donc supportable, parfois même acceptable, si l’on veut être objectif. Tout cela prit fin le jour où Georges Marchais, le vieux stalinien, affirma haut et fort qu'il fallait « stopper l’immigration officielle et clandestine » qui provoquait non seulement la montée du chômage, mais encore l’augmentation de la criminalité, et ce, au grand détriment du peuple français. Alors les jeunes néo-communistes du PCF — répugnants bobos avant l’heure —, firent taire peu à peu le vieux grognard pro-soviétique qui dut manger son chapeau et se convertir lui aussi, de mauvais gré, à l’« antiracisme » qui allait constituer l’essentiel de la « pensée » pavlovienne, vide, insane (avec sa grotesque écriture inclusive), haineuse, victimaire, raciste et mécanique (avec sa stupide et répétitive novlangue), de la gauche moderne en mode décadent, puis carrément dégénéré avec le déferlement woke, d'où l'apparition inéluctable de la gauche-zombie. Dès ce moment-là, — la mise à l’écart des totalitaires marxistes-léninistes qui, eux, toutefois, défendaient de façon véritable les intérêts des classes populaires françaises —, la gauche devint un bloc uniforme, presque déjà zombifié, qui, du bloc socialo-communiste au bloc trotskyste-écolo-tiers-mondiste, ne forma plus à chaque élection (en dépit des piètres chamailleries internes dues à des « courants » imaginaires ou à des batailles d'égos pour le leadership) qu’un ensemble parlant, ou, plutôt, jacassant, de la même voix homogène, uniforme, idiote, où le peuple français était toujours plus absent au profit des « immigrés » et autres « minorités », anticipant de la sorte la « stratégie Terra Nova » de l’abject think thank progressiste dirigé par le non moins abject Olivier Ferrand, qui prôna chaudement l’abandon pur et simple des classes ouvrières et moyennes françaises lepénisées pour se tourner vers les « jeunes des banlieues », les bobos urbanisés, et les hystériques LGBT, entre autres nouvelles « classes » émergentes.


Mais, me direz-vous, la droite-anarchie n’a-t-elle pas gouverné de 1986 à 1988 (Jacques Chirac, Premier ministre), de 1993 à 1995 (Édouard Balladur, Premier ministre), puis de 2007 à 2012, avec Nicolas Sarkosy, président de la République ? Laissez-moi rire! Le réactionnaire viscéral que je suis, ne se situant au fond ni à gauche ni à droite de l’échiquier politique, car seuls la pérennité de la France, la liberté et le bien-être du peuple français (dont je suis), lui importent, ne sera en aucune façon partisan en la matière. La « droite » a donc gouverné depuis 1981 à plusieurs reprises, certes, mais ce ne fut que pour appliquer le même programme, à peu de choses près (mesurettes « sécuritaires » et « lutte contre l’immigration clandestine », et seulement clandestine, du même tonneau), que celui de la gauche-zombie progressiste, multiculturaliste, « antiraciste », et souvent libérale, voire néolibérale, de la façon la plus infâme qui fût envers le peuple. Et n’est-il pas fort étrange que cette droite française, dont les divers courants, du royalisme légitimiste, voire contre-révolutionnaire, au libéralisme tempéré par l’étatisme, en passant par les conservateurs ou les purs nationalistes, — n’est-il pas fort étrange que cette droite française qui, en somme, représente l’éternel et l’entièreté de la nature humaine, en allant du pire au meilleur, avec sa richesse de liberté de pensée, de diversité des sentiments (une richesse trop grande, d’ailleurs, d’où l’anarchie et l’individualisme propre à une famille politique dénuée de l’instinct de grégarité et de dogmatisme), se rangea finalement sans broncher, et même souvent dans l’aplatissement le plus vil, devant les théories les plus imbéciles issues des intellects limités et pervertis des têtes molles de cette basse époque ? et d'autant plus après l’apparition de ce fameux « néolibéralisme » anglo-saxon qui fut adopté aussi bien par la gauche que par la droite « modernes », ce qui, couplé au progressisme mêmement partagé, aboutit à cet infâme UMPS que dénonça naguère, à juste raison, Jean-Marie Le Pen. Ne demeurait donc plus, dans la famille de droite, que la guerre entre « européistes » et « souverainistes », où les souverainistes durent baisser finalement pavillon, tellement l’État profond (surtout après le référendum de 2005 et la trahison de ce référendum par Nicolas Sarkosy, avec le funeste « traité de Lisbonne » en 2007), à force de désinformation omniprésente jouant avant tout sur la peur de l’« inconnu » et de l’« incertitude » (comme s’il pouvait y avoir des certitudes ici-bas), sut rallier une majorité de la population française à cette Union européenne qui fut le début de l’agonie des vieux États-nations européens, et la dérobade, puis la reculade, du pouvoir politique devant celui d’un « État de droit » pervers, stupide, inhumain, dévoyé par toutes les doctrines progressistes des temps présents.


Ainsi, la droite soumise et aplatie, de 1986 jusqu’à nos jours (et ceci inclut, désormais, également le Rassemblement National, qui, avec son pitoyable souci de « respectabilité » pour ne pas faire peur à des millions d’imbéciles, lesquels, de toute façon, en seront toujours effrayés lors des scrutins électoraux grâce à la gigantesque propagande mise en place par la gauche folle et les centristes veules depuis 1981, et relayée par les idiots utiles de la « droite républicaine » qui respecte avec une invariable servilité, comme mentionné plus haut, le « cordon sanitaire » inventé par le machiavélique Mitterrand), n’a en somme fait que poursuivre, parfois sur un mode plus lent (acceptation explicite ou implicite de l’immigration massive en tant que politique aussi bien humanitaire qu’économique et de la hausse concomitante de l’insécurité, avec l’impunité scandaleuse et révoltante des criminels due au laxisme droit-de-l’hommiste du système judiciaire, que cette droite molle et lâche n’a jamais vraiment remis en cause), parfois sur un mode parfaitement similaire (abandon de la souveraineté française au profit de la malfaisante oligarchie de la Commission européenne, vassalisation de la France aux USA ou à l’Allemagne, indignes reptations devant l’Algérie sans jamais remettre en cause des accords bilatéraux suicidaires pour la cohésion du pays), l’idéologie clairement anti-française, car mondialiste, européiste, multiculturaliste, criminophile, immigrationniste et islamophile, de la gauche-zombie, portée à présent au paroxysme de démence et de haine de soi aussi bien par Mélenchon l'islamo-gauchiste vociférant que par Macron l'islamolâtre énamouré.


Et c’est bien parce que cette droite molle, du RPR aux LR actuels, en passant par le Rassemblement National (qui, peut-être, ne songe qu’à remplacer l’UMPS de naguère sur un mode un peu plus patriotique et un peu moins laxiste ?) …  — c’est bien parce que cette droite molle, tous partis confondus (le Reconquête ! d'Éric Zemmour, lui aussi, ne poursuit-ils pas sur la lancée néolibérale inaugurée par les socialistes des années 80, en somme, fût-ce sur un mode moins dogmatique et plus pragmatique ?), est asservie depuis des décennies au libéral-progressisme dévoyé, insensé et imbécile, omniprésent dans la société française post-soixante-huitarde, qu’avec l’avènement de Macron le Félon, haïsseur absolu de la France et des français et zélé lécheur de fesses de l’Algérie ou de l’Allemagne, la gauche-zombie est proche de la victoire complète.


De la victoire complète, oui, car un totalitarisme progressiste accentue chaque jour davantage son emprise sur le pays entier (censure omniprésente, descentes policières chez des militants anti-immigration ou de simples quidams ayant vilipendé Macron le Pourri, fermeture de C8, procès politiques de CNews, de Marine Le Pen, d’Eric Zemmour, et de bien d’autres opposants à l’État macroniste-totalitaire, islamisation planifiée de la France par les Frères musulmans avec l’assentiment, sinon la complicité, des « élites » aussi lâches que perverties, explosion des crimes et délits voulue par le pouvoir macroniste afin de semer le chaos, la dissension, la peur et l’anomie…) sans que les sympathisants et partisans des droites ne lèvent le petit doigt, se situant à mille lieues d’une révolte ouverte et générale. Certains, même, dans ses droites aussi passives que divisées, s’en lavent parfois les mains en se disant en leur for intérieur : « Zemmour harcelé par les juges gauchistes et les « Antifas » ? bah ! ce n’est pas grave, il l’a bien cherché, après tout ! » ou « Marine Le Pen interdite d’élection présidentielle ? bah ! ce n’est pas si grave, Bardella va la remplacer et il faut respecter l’« État de droit », après tout »… Et ainsi de suite jusqu’à ce que les personnalistes de la droite-anarchie, bien soumise, bien aplatie, se rendent compte un jour qu’un État policier et totalitaire a été mis en place par Macron le Pervers, et qu’eux aussi, désormais, n’auront droit à la parole que s’ils reprennent en chœur, avec docilité, toutes les bêtises démentielles de la gauche-zombie, qui va de l’extrême-gauche à l’extrême-centre.


De fait, nous y sommes presque. Si, en 2027, cette si hypothétique, hélas ! union des droites ne se concrétise pas, permettant l’élection d’un président RN (ou autre, peu importe!) à la tête de la France, mais que, bien au contraire la droite-anarchie permet encore, et encore, l’élection d’un centriste-immigrationniste du genre Edouard Philippe, Gabriel Attal ou Gérald Darmanin à la présidence, il est fort possible que cela signe la mort quasi définitive de la France de toujours, qui sera assez vite diluée dans une Europe fédérale et multiculturaliste, avant d’être islamisée durant peut-être des siècles et des siècles en vertu de la « transition démographique » tellement désirée, et d’ores et déjà mise en pratique avec les conséquences désastreuses que l’on connaît, par le plus grand traître à la nation qu’ait connu l’histoire de France, à savoir Macron le Dhimmi, Macron le Pourri, le fossoyeur de la France et le haïsseur absolu et acharné des français.


(04-10 avril 2025)

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