Littérairement incorrect
Christophe Lartas

Il est des temps où les nantis ne se satisfont plus de régenter le monde dans sa totalité, affirmait Gracchus Babeuf quelques mois avant

Staline disait au sommet de sa puissance et de sa gloire qu’à la fin, c’est toujours la Mort qui gagne, et qu’à l’orée de la vieillesse nos

La guerre planétaire entre l’humanité déliquescente et les blattes en cours de mutation se poursuivait depuis deux mille ans,

C’était à l’aube d’une nouvelle ère ; la Terre se desséchait telle une vieille orange tandis que des prophètes à longues barbes blonde et à

Dans la nuit profonde j’aimais à errer dans les jungles vertes de Birmanie à la recherche des immortels sages taoïstes qui, à en croire les

Après avoir traversé la Roumanie et l’Ukraine ensevelies sous d’épais manteaux de neige, j’atteignis enfin la Russie où avaient décidé de

Passer de la grande pauvreté à une richesse presque sans limites n’est pas chose facile, néanmoins je compte sur le désintéressement de mon

Alors que je me promenais au bord du lac aux eaux glauques et lisses, je vis surgir à l’horizon un gigantesque champignon nucléaire

Après ma mort à l’âge de vingt-et-un ans je vécus le long d’une éternité sur un monde où, dans un ciel bleu crémeux de peintre primitif

J’abordai les rivages de Thulé au mois d’octobre ; l’île étrange semblait peuplée de chênes gigantesques

L’homme se creva les yeux devant l’empereur Rouge en signe de protestation

Jadis, lorsque j’errais dans le désert de Gobi, chaque jour je défaillais de joie à l’idée de ma solitude infinie.

L’araignée pleure au pied des archanges célestes et de leur créateur, le Principe primordial ; elle est lasse des paradis blancs et