Jean-Marie Le Pen, patriote combattant, politique impuissant
- christophe lartas
- 26 janv.
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Dernière mise à jour : 13 juin
Politique (démences et décadences dans la France des démons) 7 Jean-Marie Le Pen, patriote combattant, politique impuissant

Jean-Marie Le Pen, patriote combattant, politique impuissant Politique (démences et décadences dans la France des démons) 7
C’est quelques jours à peine après avoir mis en comparaison, en quelques mots, dans une série de notes réactions d’un réactionnaire (non encore publiée), le grand prophète, anglais Enoch Powell, et le petit prophète français, Jean-Marie Le Pen (dont les saillies antisémites, qu’elles vinssent d’un vieux fond antisémite européen, ou d’un goût inné de la provocation, desservirent au final lourdement la cause qu’il voulait pourtant servir), que j’apprends la mort de ce dernier ; qu’il repose donc en paix dans l’éternité de l’au-delà, ce vieux guerrier, homme de grand courage qui tenta en vain en novembre 1944, encore adolescent, de rallier la Résistance française, mais qui, par la suite, servit à trois reprises sa patrie au sein de l’armée française (Indochine, canal de Suez, Algérie). Il est le seul homme politique pour lequel je votai lors d’une élection présidentielle (quoique n’étant pas en accord avec son libéralisme à l’anglo-saxonne), tellement me révulsa profondément, dans cette hystérique période, la basse propagande de haine stupide qui se déchaîna contre lui et son parti, le Front national, avec le déferlement dans les rues de ces « anti-fascistes » de pacotille, minables rebellocrates de la pensée unique progressiste/centriste et de la bien-pensance « anti-raciste », avec leurs méprisables slogans du genre « no pasaran », et autres foutaises de petits-bourgeois et bourgeois conformistes et aisés. Il est vrai que, récemment, je voulus voter pour le tout aussi honni Éric Zemmour lors de la présidentielle de 2022, mais, en vertu de la célérité de l’administration française de ces temps (ma carte d’identité était périmée depuis des lustres), je ne pus le faire.
Paix à son âme, disais-je plus haut, mais il semble que dans la France décadente d’aujourd’hui, gangrenée par la religion de la gauche folle, même le respect des morts n’est plus de mise. À voir ces milliers de fanatiques imbéciles issus du Boboland et de la diversité ethnique, mélange d’ordures islamo-gauchistes anti-françaises et antisémites, de crétins wokes à cheveux bleus ou verts, avec transgenres moustachus et barbus à jupes, et de pseudo-français administratifs se pavanant avec leurs drapeaux islamiques sous le regard énamouré de ces crevures issues des classes aisées ou moins aisées sabrant du champagne de prix pour célébrer, avec toute l’impudence et l’ignominie qui les caractérise depuis toujours, la mort d’un homme qui servit au péril de sa vie la France, à l’inverse de leur caste maudite, collaborant déjà amplement, avec toute la lâcheté et la servilité possible, avec les ennemis intérieurs de la France, on se prend vivement à regretter qu’il n’y eût pas ce soir là — soirée festive et conviviale propre aux dégénérés de ces temps démoniaques — un Anders Breivik français rôdant dans les parages, afin que fussent effacés à jamais leurs ignobles sourires, et leurs non moins ignobles cris de joie, immondes slogans de haine, et dégoûtantes danses du ventre. — Et que les crapules du Big Brother français, serviteurs robotiques de la pensée unique et du politiquement correct, s’abstiennent de m’accuser d’« incitation à la haine » relativement à ces derniers mots : car, en vérité, je ne souhaite à ces immondices du parti de la haine de la France et de la soumission à l’islam conquérant que ce qu’eux-mêmes souhaitent depuis des lustres à ces quelques millions de français qui, sains d’esprit et porteurs d’une certaine force morale eu égard aux sataniques temps qui courent, ne pensent pas comme eux, parfaits moutons bêlants de la mondialisation heureuse, de l’européisme sous la férule allemande, et du multiculturalisme façon charia. La preuve en est que, même lors de ce jour de grand deuil pour une famille, ils osent souhaiter publiquement, sans honte aucune et forts du soutien d’une presse généralement gauchiste, ou du silence assourdissant de couardise de la droite molle et de l’État tout entier, la mort d’une fille qui vient de perdre son père parce qu’elle est également coupable selon eux, en plus de porter le nom haï de « Le Pen », de défendre une certaine idée de la France, fût-elle bien trop édulcorée à mon goût. Quoi qu’il en soit, soyez-en certains, ces nécrophores islamo-gauchistes qui ont applaudi, lors de leurs obscènes festivités, au nom de leur « vivre-ensemble » parfaitement contre-nature, la mort d’un homme qui s’est battu jadis pour la France, au contraire d’eux, zélés collaborateurs des ennemis islamiques, soyez certains que, lors même qu’ils se feraient lyncher et égorger par les sanguinaires islamistes, ils piailleraient jusqu’à leur dernier souffle pourri par l’idéologie la plus bête et la plus démente qui soit : « vous n’aurez pas ma haine ! », et, cela va de soi : « c’est la faute à l’extrême-droite qui stigmatise nos frères musulmans ! ». Pauvre France! Voilà ce que sont tes enfants aujourd’hui : de lâches collaborateurs doublés de crétins très-satisfaits d’eux-mêmes, de leur belle âme, de leurs bons sentiments puants de fausseté, et de leur si grégaire et débile « pensée » issue d’une absolue perversion.
(11 janvier 2025)