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Honte, horreur et folie totale en Angleterre

  • christophe lartas
  • 10 janv.
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 28 janv.


Politique (démences et décadences dans l’Europe des démons) 5 Honte, horreur et folie totale en Angleterre



Le Paradis et l'Enfer, maître dell' Avicenna, vers 1435
Le Paradis et l'Enfer, maître dell' Avicenna, vers 1435

Honte, horreur et folie totale en Angleterre Politique (démences et décadences dans l’Europe des démons) 5


Durant longtemps, trop occupé par mes travaux littéraires, j’ai cru qu’on ne faisait pas mieux en matière de soumission aux totalitaires islamiques, ou à leurs gangs ethniques, que dans notre pauvre pays de France ; c’est donc avec un certain effroi (car comment aurais-je pu envisager, tout de même, qu’on puisse faire pire que chez nous, le pays de la gauche folle par excellence ?) que je découvris peu à peu à quel point la Belgique était gangrenée, grâce à l’appui d’une gauche encore plus sectaire et débile que celle de France, par un islam des plus séditieux et des plus mortifères.


C’est encore avec davantage de stupeur cependant, quoique je connaisse depuis belle lurette la sombre anomalie du « Londonistan », que je découvre aujourd’hui à quel point les pseudo-élites anglaises nourrissent une haine pathologique de leur propre peuple ; une haine pathologique qui va non seulement jusqu’à nier le caractère islamiste d’une tuerie de fillettes au couteau, au sein d’une école de danse de Southport, par un adolescent dont la famille est originaire du Rwanda, mais encore jusqu’à incarcérer, de façon illégitime, leurs propres compatriotes, sous prétexte de lutter contre les théories d’« extrême-droite », tout en faisant par ailleurs libérer des milliers de délinquants et de criminels (sans doute en majeure partie étrangers, au point où en sont les choses?) en vue de trouver davantage de place pour ces dissidents nationalistes ; dissidents nationalistes devenus désormais de véritables prisonniers politiques en conséquence du fanatisme multiculturaliste du Premier ministre travailliste, Keir Starmer.


Mais désormais nous comprenons, avec l’affaire des innombrables viols (et sans doute pire encore, mais je n’en dirai rien sans certitude) de mineures blanches, issues de la classe ouvrière anglaise, par des gangs pakistanais, et ce, durant peut-être des décennies, avec l’assentiment, voire la complicité tacite, de certains services sociaux et judiciaires (mais rien là de surprenant, à vrai dire) et certaines forces de police (le plus sordide et le plus révoltant dans cette histoire, pour le coup), dans l’intention, cela va de soi, de ne pas stigmatiser les musulmans, ce qui eût, bien sûr, encouragé le « racisme » et l’« islamophobie »… désormais nous comprenons, alors que l'impudent Keir Starmer refuse d’ouvrir une enquête publique sur ces monstrueux viols de masse concernant des fillettes et des jeunes filles blanches appartenant aux milieux populaires, que les stupides « élites » anglaises sont au plus haut sommet de la satanocratie européenne, avec leur refus démentiel de regarder la réalité, et la nature de ces crimes, bien en face, puis de faire en sorte qu’ils ne puissent plus jamais se reproduire. Mais la honte de soi-même pour avoir permis de semblables abominations semble complètement faire défaut à ces politicastres britanniques, dont on constate qu’ils nourrissent un « anti-racisme » et un culte du « multiculturalisme » peut-être encore plus dément, et gâteux, que celui des plus illustres religieux de gauche français, pourtant des sommités en matière d’aveuglement idéologique et de gâtisme « pro-migrants ».


Aucune honte, ni horreur, à ce qu’il semble, ne sera épargné à l’Occident dans les années qui viennent, avec des dirigeants de la sorte, qui ont tellement la haine et le mépris de leurs peuples chevillées au corps qu’ils sont capables, sans états d’âme, comme ce fut récemment le cas en Angleterre avec cette ordure à tête de bureaucrate borné digne de la Russie soviétique, le dénommé Keir Starmer, d’envoyer des forces de police réprimer sans pitié les légitimes révoltes populaires, et ce, en laissant agir dans le même temps en toute impunité, avec une ignoble complaisance, des milices islamiques armées qui ne se privent pas de lyncher les véritables citoyens anglais. Mais quand une nation en est parvenue à un tel degré d’infamie et d’ignominie, à quoi d'autre faudrait-il s'attendre, après tout ?


D’autant plus que j’apprends de même qu’en Angleterre (devenue désormais un bastion de la religion woke et de la cancel culture) la folie des élites dégénérées atteint à un tel point de furieuse incandescence que de grands écrivains comme Orwell, Huxley, Tolkien, voire Shakespeare en personne, sont classés comme « dangereux », car pouvant susciter une adhésion aux idées de l’« extrême-droite »… ! Je croyais naguère encore que l’enfer du totalitarisme progressiste s’épanouissait par-dessus tout dans l’obscène France macroniste, eh bien non ! L’Angleterre néo-libérale et mondialiste (Brexit ou pas) a réussi à dépasser, dans le domaine de l’auto-destruction « multiculturaliste », et du satanisme juridique, la France de la gauche folle et de la droite molle, outre la Belgique plombée de niaiserie « anti-réactionnaire », d'ivresse antisémite, et de délire islamophile.


L’Occident est devenu totalement lâche, bête et dément, et cela semble n’être que le début du processus, pour notre plus grand malheur à tous. Nous sommes donc bien installés dans l’âge sombre des somewhere contre les anywhere, défini par l’essayiste britannique David Goodhart. Et pour longtemps encore les insanes anywhere auront toute latitude de trahir leurs propres peuples, de les censurer, de les emprisonner, de les laisser lyncher et massacrer, puis de les liquider totalement grâce à cette immigration criminogène qu’ils planifient diaboliquement depuis des lustres.


(05 janvier 2025)

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