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Macron, l’homme qui lèche ardemment les fesses des ennemis de la France

  • christophe lartas
  • 1 déc. 2024
  • 5 min de lecture

Dernière mise à jour : 28 janv.

Politique (démences et décadences dans la France des démons) 3 Macron, l’homme qui lèche ardemment les fesses des ennemis de la France




Enfer, Hans Memling, vers 1485
Enfer, Hans Memling, vers 1485

Macron, l’homme qui lèche ardemment les fesses des ennemis de la France Politique (démences et décadences dans la France des démons) 3


Comprenez-vous ? c’est plus fort que lui ; c’est profondément inscrit dans son ADN de mondialiste néolibéral et multiculturaliste progressiste haïsseur de la France, et des peuples occidentaux en général. Bref, cet insane félon a porté une fois encore l’humiliation de la France à son comble en faisant déposer une gigantesque, et grotesque, gerbe de fleurs, sur la tombe d’un chef terroriste du FLN, poseur de bombes contre des civils, en affirmant avec fiel, de sa voix de petit marquis vérolé, que ce chef terroriste fut assassiné par les « militaires français » (et un crachat de plus sur la Grande Muette, qui n’en est pas à un crachat près depuis le funeste avènement de ce jean-foutre, supposément « chef des armées). Décidément, c’est à croire que ce paltoquet à nul autre pareil s’est converti à l’islam, ou est la groupie énamourée des Frères musulmans, tellement il ne cesse, depuis les débuts de sa présidence à la fois inepte et destructrice, de flagorner avec force reptations le régime islamo-maffieux algérien, et de salir la nation française jusqu’à plus soif. Vous vous en doutez bien, le résultat de cette nouvelle génuflexion, pleine d’une servilité inouïe, devant la sale oligarchie gérontocratique algérienne, ne s’est pas fait pas attendre, avec l’arrestation et la mise au cachot de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal ; un homme faisant preuve d’un extrême courage (à l’inverse du jean-foutre qui nous gouverne, pour le plus grand malheur de la France et des Français) en dénonçant depuis longtemps le totalitarisme islamiste (qui n’a aucun équivalent dans l’horreur hors les totalitarismes nazis et communistes ; mais la gauche folle et les centristes progressistes, cela va sans dire, nieront ce fait jusqu’à leur mort) et les crapuleries du régime islamo-maffieux d’Alger. Et que croyez-vous qu’il va advenir suite à cette nouvelle provocation de l’Algérie haineuse vis-à-vis de la France ? Allons donc ! Nous le savons bien : rien, rien et rien ! La France de l’infâme félon va se coucher une fois de plus devant les maffieux d’Alger en quémandant la libération de l’écrivain, et en offrant sans nul doute, en contrepartie — cela fait tellement plaisir à toutes ces ordures qui détestent la France, de Macron à Mélenchon —, de nouveaux gages de subordination idéologique à l’égard de l’ennemi algérien et de la cinquième colonne islamique qui gangrène l'entièreté de la France à petit feu. Mais après tout, me direz-vous, l’on a les dirigeants qu’on mérite… ? Il faut alors croire que les citoyens français qui votent — et qui sont en grande majorité ces immondes boomers libéraux-centristes, et ces non moins immondes bobos socialistes-wokes (dans toutes leurs variantes plus stupides et perverses les unes que les autres) — ne méritent pas grand-chose eu égard aux pantins, aux médiocres, aux craintifs et aux traîtres, qui nous gouvernent sinon depuis 1974 avec Giscard d’Estaing qui croyait déjà davantage à l’imaginaire « couple franco-allemand » qu’à la France éternelle du général de Gaulle, au moins depuis 2012 avec le cynique et veule François Hollande qui serait prêt à toutes les bassesses et les compromissions pour être de nouveau sur la plus haute marche de l’impuissance française, à savoir la présidence fantoche de la république (puisque la France a perdu à cette heure presque toute sa souveraineté au profit des technocrates néolibéraux islamisés de Bruxelles) ; à preuve, son indécente alliance avec les faux « amis du peuple », mais vrais collaborateurs des Frères musulmans, du Nouveau Front Populaire.


Post-scriptum : on reconnaît les intellocrates de la gauche folle à ceci qu’ils osent baver avec dévotion et hargne toutes les saloperies possibles à partir du moment où cela participe, bien sûr, de leur ignobles dogmes tous plus insanes et mensongers les uns que les autres. Ces jours, Benjamin Stora, apparatchik islamo-trotskyste nommé par Macron-le-haïsseur-de-la-France pour diriger de pseudo-travaux historiques destinés à célébrer, une fois de plus, l’islamo-maffia à la tête de l’Algérie depuis des décennies, et, en même temps, à plonger toujours plus la France et les Français dans l’odieuse haine de soi ayant pour nom « repentance mémorielle », s’est donc permis, comme il était prévisible — et secondé en cela par toute une cohorte de crypto-islamistes infiltrés dans chacun des rouages de l’éducation nationale grâce à l’appui d’une classe politique ivre de lâcheté depuis les années 1980 …, s’est donc permis de sussurer, bouffi de sa fatuité de « penseur de gauche », que si Boualem Sansal, écrivain et homme libre de 75 ans, se retrouve emprisonné dans les geôles algériennes, c’est qu’il le méritait plutôt, n’est-ce pas… ? Après tout, comme le dit à longueur de journée l’ignoble propagande de la gauche folle, collaboratrice toujours plus zélée et soumise de l’islam totalitaire, lui et son compère Kamel Daoud propagent sans retenue les thèses de l’« extrême-droite »… ! Ces deux écrivains, en somme, sont des fascistes sinon des néonazis… ? Et nous (l'empire du bien), ainsi que le régime algérien, de nobles résistants... ! Non, ne riez pas, je n’invente ici rien, vraiment rien, et si vous avez le courage (moi, je ne saurais l’avoir sous peine de vomissements incontrôlés) de lire ces deux ignominieux journaux islamo-gauchistes que sont « Le Monde » et « Libération », par exemple, vous verrez sans nul doute que je suis bien en deçà de la vérité, de la vérité crue et laide. Car, rappelez-vous, les intellocrates de gauche, au cours de l’histoire moderne, les intellocrates de gauche, toujours bien au chaud et bien planqués dans leurs salons bourgeois ou leurs lugubres bureaux universitaires, ces abjects intellocrates n’ont-ils pas soutenu toutes les folies et les atrocités de ce siècle et du siècle précédent, pourvu que ces folies et atrocités se fassent au nom de la religion de gôôôche… ? Pourquoi donc hésiteraient-ils à poignarder lâchement un écrivain et un homme libre (contrairement à eux, vils laquais des forces de l’anti-France) de 75 ans, emprisonné par le régime algérien, alors qu’ils ont toujours soutenu sans broncher, comme un seul homme, les régimes de Lénine, Staline, Mao, Pol Pot, Castro, et tutti quanti, au plus fort de leur démence idéologique et de leur absurdité étatique… ? Après avoir craché toute leur haine rance (la haine rance de ceux qui se savent user d’une répugnante mauvaise foi) d’intellectuels tarés sur Kravchenko, Soljenitsyne, et tant d’autres, n’allait-il pas de soi qu’aujourd’hui, alors que le totalitarisme islamique ratisse large dans l’abjecte classe, et sous-classe, de l’intellocratie française de gauche, toujours prompte à lécher les bottes de tel ou tel Ubu roi, n’allait-il pas de soi, certes, que les fanatiques flaccides, sournois, menteurs et très-vaniteux, de la gauche folle, dans l’espoir de participer à certains rouages gouvernementaux du susdit totalitarisme s’il en venait à conquérir la France faute d’une résistance digne de ce nom (conséquence d’une décadence tournant désormais à la pure dégénérescence), donnent des gages de soumission et de servilité aux pseudo-religieux sanguinaires qui préparent dans l'ombre (mais parfois également en plein jour) les futurs bains de sang, en lâchant leur venin de crapauds et de tartuffes bourgeois progressistes, repus de gloriole et d’argent, sur l’un des très rares écrivains, de France et d’ailleurs, qui ose actuellement nommer les choses par leur nom, et avertir sur les lendemains monstrueux qui nous attendent, nous, les non-soumis et non-collaborateurs, si la Peste verte venait à s’emparer de la France sinon de toute l’Europe de l’Ouest ?


(23-25 novembre 2024)



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