Décadence + dégénérescence + démence = fin de cycle 2
- christophe lartas
- 8 févr.
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Dernière mise à jour : il y a 4 jours
Politique (démences et décadences dans l’Europe des démons) 4 Décadence + dégénérescence + démence = fin de cycle 2

Décadence + dégénérescence + démence = fin de cycle 2 Politique (démences et décadences dans l’Europe des démons) 4
quand une civilisation produit une classe entière d’individus — l’immonde Boboland — qui ont réussi l’exploit à nul autre pareil de frelater, abêtir, corrompre, rabaisser, non seulement tous les arts, de la littérature à la peinture en passant par la sculpture, mais encore le cinéma, la chanson, le théâtre, la musique ; au reste, cerise pourrie sur leur gâteau gâté, même la spiritualité, le mysticisme et l’ésotérisme, sont aujourd’hui discrédités par le mensonge éhonté, l’imposture perpétuelle, et l’inversion des valeurs, au profit de leurs manipulations et travestissements toujours davantage subtils, pernicieux, quasi imparables, car devenus désormais la substance même du socle « culturel » des sociétés occidentales ;
quand une civilisation permet que des désaxés gauchistes, des cinglés satanistes, des bandes ethniques haineuses, souillent, saccagent, pillent, brûlent, ses plus anciens et illustres lieux de culte, ses cimetières, ses monuments publics, ses statues historiques, ses tableaux anciens, sans réagir le moins du monde, que cela soit par l'intermédiaire de ses religieux, de ses politiques ou de ses magistrats ;
quand une civilisation génère en permanence des rassemblements de type « raves » ou « teknivals » où des milliers d’individus alcoolisés, drogués, abrutis par une musique bestiale, assourdissante et psychotique, s’agitent, se trémoussent, se dandinent, tels des zombis décérébrés ou des ténias acéphales, durant des heures et des jours, au long des années, y compris lors de l'âge adulte ;
quand une civilisation produit en permanence des films pornographiques où sont toujours plus absentes les images crues, explicites, primaires, parfois puissamment érotiques, qui circulèrent de tout temps et de façon universelle, mais où abondent toujours davantage, à l’inverse, soit de grotesques images où l’on croirait voir un mélange, fût-il pornographique, de catch bodybuildé mâtiné de Tex Avery, soit des images ultra-violentes, avilissantes, perverses, psychopathiques, où la personne de sexe féminin n’est plus qu’un bout de viande meurtri destiné à subir les pires avanies et fantasmes mortifères d’une bande d’individus morbides, dégénérés, abrutis, complètement dénaturés et n’agissant qu’en haine de la femme et de toute forme de féminité ;
quand une civilisation permet à des millions d’enfants d’avoir accès aux films susnommés en toute liberté, provoquant de la sorte des chocs psychiques qui engendreront, presque à coup sûr, des masses d’individus déséquilibrés qui n’auront plus de la sorte la capacité de considérer les jeunes filles et les femmes comme leurs égales et leurs sœurs en humanité, en amour et en érotisme ;
quand une civilisation engendre des générations entières d’individus, jeunes, vieux ou d’âge mûr, qui consomment par millions et dizaines de millions régulièrement, voire journellement, diverses sortes de stupéfiants ou de tranquillisants tous plus nocifs les uns que les autres, ce qui permet par ailleurs, outre l’enrichissement illimité des grands laboratoires pharmaceutiques et le renforcement de leurs louches lobbys, l’infiltration progressive de puissantes maffias ethniques, néfastes aux pays hôtes, dans chacune des strates de la société au moyen de la corruption, de la menace et de l’assassinat ;
quand une civilisation permet que ses femmes, ses jeunes filles et ses enfants, soient quotidiennement injuriés, tabassés, violentés, violés, assassinés, par des gangs de criminels psychopathes ayant la haine de la France et des Français (et des gens originaires d'Europe, en général) chevillée à l’âme en conséquence de dizaines d’années de propagande menée par les bons soins de la gauche folle, de la droite molle, et des ennemis déclarés (pourtant parfaitement épargnés par les pseudo-élites traîtreuses, ou démissionnaires, et les infâmes, les innommables, satanocraties des magistratures européennes) de la France et de l’Occident, à savoir les fanatiques et totalitaires islamiques ;
quand une civilisation, faute d’une autorité parentale qui n’est plus naturellement, et vigoureusement, présente, engendre des générations d’enfants rois qui, par dizaines de milliers, tournent au pervers narcissique ou au criminel psychopathe, et agissent en conséquence en toute impunité pour le plus grand malheur de millions de personnes, ceci résultant non seulement d’un laxisme judiciaire dû à une perversité et à une malfaisance idéologique assumée et proclamée à chaque instant, comme un crachat puant, à la face de chaque citoyen, mais encore d’une lâcheté morale, d’une bêtise intellectuelle et d’une abdication collective, de chacune des autorités étatiques ;
quand une civilisation, par le biais de ses fausses élites — oligarchies dégradées et imbéciles —, n’hésite pas à réduire en masse tout un peuple au chômage en délocalisant à outrance ses industries pour la seule raison d’une cupidité exacerbée ou d’une complète soumission à des théories économiques fielleuses, fumeuses, insensées, et toujours funestes à long terme — car on ne saurait enrichir un pays en l'appauvrissant de sa substance vitale, politicastres imbéciles!
quand une civilisation, toujours par le biais de ses pseudo-élites oligarchiques, corrompues et immondes, permet que la pauvreté, voire la misère, touche une grande partie de sa population en pratiquant des politiques économiques et sociales toujours plus stupides, dogmatiques et délétères, cependant qu’elle continue obstinément de distribuer des milliards et des milliards d’euros à des puissances étrangères qui, de surcroît, sont parfois carrément ennemies, — et à des migrants invasifs, profitant du délirant et absurde État de droit européen, qui se révèlent être une indéniable cinquième colonne ;
quand une civilisation produit des ersatz d’élites tellement perverties, tarées et malveillantes, que celles-ci font tout ce qui est en leur minable pouvoir afin de détruire leurs propres peuples, leurs propres cultures, leurs propres mœurs, en favorisant ou en planifiant sciemment une immigration exponentielle qui ne peut se décrire, en langage clair, que comme une invasion massive, provocatrice, dangereuse à l’extrême, d’une civilisation par une autre qui lui est absolument antagonique et, de toute façon, complètement étrangère par ses mœurs, ses lois, sa langue, sa culture, sa religion ou ses traditions ;
quand une civilisation, certes, est trahie depuis des lustres aussi bien par ses bourgeoisies de gauche que de droite, aussi bien par ses technocrates européistes et mondialistes que ses boboïstes progressistes et multiculturalistes, aussi bien par son patronat que par ses syndicats, aussi bien par ses artistocrates que par ses représentants politiques, aussi bien par ses capitaines d’industrie que par son lumpenprolétariat composé en grande partie d’étrangers au moins indifférents, sinon menaçants et nuisibles ; aussi bien par ses religieux sans foi, sans cœur ni âme, que par sa magistrature baisant journellement le cul merdeux du Diable, et ce, avec une joie malsaine, profonde, phénoménale, sans doute inégalée dans l’histoire de l’Occident eu égard à la liberté entière de sévir (cadeau inespéré que leur firent les politicastres de gauche comme de droite au fil des décennies) dont dispose cette maudite caste vendue à chacun des démons que l’âme humaine abrite en son sein depuis la nuit des temps ;
quand une civilisation génère des élites merdiques, dérisoires, anémiées, subalternes, qui, soit lâcheté politique, soit aveuglement idéologique, ou lassitude existentielle, en arrivent à brader la souveraineté de leur propres nations, et, subséquemment, de leurs propres peuples, au profit d’une caste de technocrates malintentionnés, suffisants, aveugles, totalement séparés de l’existence réelle des susdits peuples, et qui, au surplus, n’auront de cesse — suprême démence, formidable idiotie — qu’ils ne détruisent la civilisation damnée qui leur a donné naissance, et les a fait rois sans trônes, ni peuples, ni dieux ;
quand une civilisation, en somme, ne se compose plus que d’une masse de perdition — pseudo-élites et populations diverses confondues — qui roule quasi aveuglément à l’abîme, à l’anéantissement et à l’abattoir, chacun se croyant plus intelligent, plus malin, plus chanceux, plus riche, plus beau, plus fort, plus heureux, que les autres (pauvres crétins), sans plus la moindre empathie humaine, fraternité patriotique, ou solidarité civilisationnelle ;
quand une telle civilisation en arrive à ces extrémités, alors que d'immenses civilisations ont soit totalement disparu, soit se sont écroulées pour des siècles et des siècles avant de revenir à la vie sous une autre forme, toujours moins grandiose (Athènes, Rome, l’Inde, la Chine, la Perse), il va de soi que, sauf miracle des miracles issu de la Providence, elle ne saurait être que balayée, et entièrement détruite, à court ou moyen terme ;
et, d’ailleurs, une telle civilisation, mérite-t-elle de survivre ? alors que ce n’est même plus une civilisation, mais plutôt une anti-civilisation où triomphent toujours davantage l’anarchie, l’anomie, la dépression clinique, la déshérence, la barbarie clanique, la psychopathie, la bêtise intellectualiste, l’inculture satisfaite, la surexcitation maladive, le narcissisme pathologique, le déni hystérique du réel, et le gâtisme mesquin du confort matériel et financier — égrégore de pure folie collective ? Non, non et non, et, en tout les cas, sûrement pas dans cette configuration contrefaite, déréglée, chaotique, inique, déliquescente, abjecte, psychotique, baveuse, répugnante, décomposée, et, au final, parfaitement aberrante.
(04 décembre 2024 — 30 janvier 2025)