Réactions d'un réactionnaire 4

Réactions d'un réactionnaire (2024 - ) 4

Vitrail représentant Saint Louis, roi de France

Réactions d'un réactionnaire 4

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Parfaitement symptomatique de la folie collective des pseudo-élites occidentales est le fait que la confrérie totalitaire des Frères musulmans qui a comme visée d’instaurer, à moyen ou long terme, des califats islamiques en Europe de l’Ouest, alors qu’elle est classée comme « organisation terroriste » dans plusieurs pays musulmans, garde son entière liberté de nuire dans des pays comme la France, l’Angleterre et la Belgique, où elle peut pratiquer, sans aucune riposte d’envergure de l’État, l’entrisme dans chacune des instances officielles du pays ciblé, et ce, bien sûr, grâce à la pratique millénaire de la Taqîya (l’ « art de la dissimulation »), bien représentative de la fourberie de ces ennemis sanguinaires de l’Occident, dont les profondes racines gréco-romaines et judéo-chrétiennes sont comme un chiffon rouge affiché devant le fanatisme inné de leurs meutes haineuses et tribales.

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Il est aussi symptomatique que le club de football de l'une des principales capitales d’Europe, Paris, se trouve sous la mainmise d’un état comme le Qatar, connu pour son soutien à des organisations totalitaires islamiques telles que le Hamas, sans que l’état français ne lève le petit doigt, ce qui en dit tellement long sur l’aveuglement et la bêtise des politicastres de ces temps, ou celui des foules qui supportent de manière hystérique des clubs de « stars » richissimes financés par des ennemis déclarés de leur nation et civilisation.

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Ne jamais préjuger d’un être humain devrait être une règle de sagesse lorsqu’on voit, par exemple, la trajectoire d’un Donald Trump, fils de milliardaire, hédoniste et superficiel, qui naguère encore voulait appartenir à l’oligarchie progressiste des États-Unis, le fameux Establishment, et qui néanmoins, peut-être parce qu’il fut rejeté par cette oligarchie de gôche ayant en mépris son propre peuple — mais qu’importe, car il y a là-dessous la main du destin —, devint au final non seulement l’ardent et formidable défenseur des classes populaires et moyennes américaines, mais encore l’intraitable pourfendeur de la démence woke et de l’ignoble « political correctness » ; voilà donc de la graine de grand homme d’État ? D’autant plus qu’il semble aujourd’hui être mieux entouré que lors de sa première élection (laquelle, peut-être, le surprit davantage que ce qu’il en disait?) ; à présent, il faudra qu’il entame une lutte féroce contre l’« État profond », gangrenée par la caste libérale-progressiste, ou néo-conservatrice, tout en échappant peut-être, en parallèle, à d’autres tentatives d’assassinats fomentés par les détraqués wokes ou les fanatiques « antifascistes », ces représentants typiques, et parfaitement abjects, des multiples impostures contemporaines. Mais une victoire historique se trouve peut-être au bout de sa destinée… ?

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Quand on voit le terne mollusque social-démocrate, multiculturaliste et européiste, Olivier Faure, parler à propos du gouvernement formé par le rusé François Bayrou, de « droite extrême », alors qu’il s’agit au mieux, et encore si l’on s’en tient au duo régalien des ministres de l’Intérieur et de la Justice formé par Bruno Retaillau et Gérald Darmanin, d’un gouvernement équivalant à un « centre droit » des années d’après-guerre, on a là encore une preuve, parmi tant d’autres, de la totale déconnexion de la réalité de cette gauche folle, formée d’un mélange d’apparatchiks issus d’appareils de partis progressistes moribonds et de frappadingues à l’intellect perverti venues du Boboland, du genre Marine Tondelier, Clémentine Autain ou Sandrine Rousseau, qui, même si elles vivaient dans un califat islamique appliquant rigoureusement la charia et la chasse aux kouffar, verraient encore se mouvoir partout, à n’en pas douter, des hordes nauséabondes de fascistes blancs — et hétéropatriarcaux.