Macron le jean-foutre et l’« Algérie que nous aimons tant »
- christophe lartas
- 17 janv.
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Dernière mise à jour : 13 juin
Politique (démences et décadences dans la France des démons) 6 Macron le jean-foutre et l’« Algérie que nous aimons tant »

Macron le jean-foutre et l’« Algérie que nous aimons tant » Politique (démences et décadences dans la France des démons) 6
Et voilà que le paltoquet Emmanuel macron, grand-maître du Dingoland, avec l’insupportable voix à la fois aiguë et fielleuse que nous n’entendons que trop souvent, s’irrite passablement à propos d’une « internationale réactionnaire », inexistante à tous points de vue, tandis qu’il s’accommode parfaitement, s’entend, des internationales progressistes et islamiques qui non seulement existent bel et bien, mais encore effectuent un malveillant travail de sape au sein de l’Occident. Cependant, comme de coutume, sa voix prend des accents mielleux, si doucereux, lorsqu’il se met à évoquer l’« Algérie que nous aimons tant », et « avec laquelle nous partageons tant d’enfants ». À l’évidence, il semble inépuisable, le flot d’ordures et de mots creux qui se déverse de sa bouche de minable politicastre. Ne sont-elles pas tout simplement extraordinaires de bêtise et d’aveuglement pathologiques, ces basses élites qui ne cessent de lécher avec amour les fesses de l’Algérie, alors que ce pays ennemi, dans le même temps, crache à longueur de journée des propos haineux contre la France et favorise l’entrée en masse sur notre territoire de petites crapules de tendance sadique — les « influenceurs » — qui sont suivis avec un enthousiasme venimeux par des dizaines de milliers de leurs coreligionnaires nourrissant, à leur égal, des rêves de psychopathes tortionnaires ? Mais qu’attendre d’autre, une fois encore, de ce jean-foutre à nul autre pareil qui s’empara du pouvoir en conséquence d’événements fort louches, et dont le « multiculturalisme » criminel et l’« européisme » suicidaire font le malheur de la France depuis huit longues années ? N’est-ce pas démentiel que la France s’aplatisse autant devant ce lamentable pays ennemi, l’Algérie, dirigé par une clique d’islamo-maffieux de la pire espèce, alors qu’à cette heure l’armée française devrait déjà déployer toute la puissance qui lui est propre afin de mettre à bas ce régime corrompu jusqu’à la moëlle et récupérer, par la même occasion, l’héroïque écrivain Boualem Sansal, détenu de façon arbitraire dans d’infâmes conditions. Mais le plus grotesque de cette insane période n’est-il pas de voir jour après jour le jean-foutre Macron, suprême guignol de théâtre pour enfants, jouer les gros bras avec les États-Unis ou la Russie, faisant ainsi de la France la risée du monde entier — alors qu’il n’est pas même capable, ce couard narcissique, de tordre le bras, sans hésitation aucune, de cet ennemi vindicatif et sournois qui profite de la France depuis des décennies en y déversant, entre autres, une grande partie de son lumpenprolétariat, véritable cinquième colonne qui déstabilise notre économie comme nos mœurs et nos lois, car elle nous est absolument hostile et se croit tout permis, au surplus, en conséquence de la veulerie ou de la complicité de nos sales classes dirigeantes, qui ne sont capables, en somme, que de diriger notre ruine et accompagner notre extinction. Décidément, si le ridicule tuait encore comme au temps de Louis XIV, le Roi-Soleil (et Roi-Ténèbre), voilà beau temps que le foutriquet Macron, le haïsseur de la France et des Français, eût été réduit en morceaux de chair sanglante, en parcelles d’os, en poussière, en particules élémentaires — bref, en néant absolu.
(07 janvier 2025)