Macron le haïsseur absolu de la France et des Français
- christophe lartas
- 24 nov. 2024
- 4 min de lecture
Dernière mise à jour : 4 mars
Politique (démences et décadences dans la France des démons) 1 Macron le haïsseur absolu de la France et des Français

Macron le haïsseur absolu de la France et des Français Politique (démences et décadences dans la France des démons) 1
Jusqu’à quel degré d’infamie cet ignoble individu — le dénommé Emmanuel Macron, élu par deux fois président de la République française par des millions d’imbéciles ayant soit un porte-monnaie, soit un pot de gélatine, à la place du cerveau — fera-t-il dégringoler l’anciennement « Grande nation » ? On savait déjà que ce sinistre guignol techno-progressiste, européiste jusqu’à la sénilité et multiculturaliste jusqu’au tréfonds de l’âme en haine de la France et de sa grandeur passée, comme retournée à l'état de poussière après ces funestes décennies de gouvernance nulle ou infâme..., on savait déjà que ce sinistre jean-foutre, qui n’hésite pas jouer les matamores et les boxeurs d’opérette devant Vladimir Poutine et la Russie, alors qu’il n’a eu de cesse de détruire les moyens de l’armée française et de s’entourer de généraux-laquais qui conduiraient une guerre comme des joueurs de Paintball, n’a, en vérité, aucune espèce de courage, fût-il superficiel. Il n’est qu’à voir la façon dont il a pratiqué le déni à outrance de la réalité devant les émeutes de banlieue, en 2023, en expliquant le phénomène par des raisons toutes plus stupides les une que les autres (mais agréant évidemment aux technocrates sans cœur ni âme du même acabit par sa fine « intelligence » de précieuse ridicule), ou la façon hystérique et mesquine dont il a refusé de participer à l’insipide marche contre l’antisémitisme après les abominables massacres du 7 octobre en Israël, au prétexte qu’il ne fallait pas « stigmatiser nos compatriotes musulmans », ce qui est limpide de couardise, n’est-ce pas ? Mais, là, décidément sa haine de la France et de l’Occident ne connaît plus de bornes (peut-être une question de gâtisme précoce dû à l’usure de son pouvoir impuissant en toute chose, sauf à détruire, grâce au satanisme de l’État de droit moderne, la France et les Français?), puisque après n’avoir cessé de donner des gages aux ennemis d’Israël (particulièrement au Hezbollah : vive le Liban multiculturel, et désormais quasi islamique, n’est-ce pas ? Un « miracle » du vivre-ensemble) en crachant son venin de narcissique veule et inconséquent sur la guerre que l’état hébreu mène avec un authentique héroïsme pour sa survie, et ce, paraît-il, parce qu’il ressent une puérile animosité envers Benjamin Netanyahou (parce que ce dernier, vraisemblablement, est, lui, un véritable chef de guerre contrairement à Macron Ier, sous-roitelet psychopathe qui affirme que les Français ne « sont rien », ou « illettrés », ou « fainéants », ou « réfractaires » à son idéologie mortifère, et j’en passe), ne voilà-t-il pas qu’on apprend qu’il emmène avec lui, lors d’un important voyage diplomatique au Maroc, l’islamo-victimaire Yacine Belattar. Sur ce, j’apprends également que non seulement cet ennemi déclaré de la France est bien un conseiller régulier de ce vil président — symbole de toutes les capitulations et de tous les abaissements de la France maastrichtienne —, mais encore qu’ils sont comme des frères. Ce qui déjà laisse à penser que ce sinistre ennemi de la France, outre qu’il veut « déconstruire » ce vieux pays de A à Z comme le parfait fanatique woke qu’il est au fond de son âme servile et pervertie, présente une certaine proximité de pensée, et d’action, avec les immondes gauchistes, et acharnés collaborateurs, de la France islamique (je veux dire LFI, cela va de soi). Aurais-je pu avoir le moindre doute sur ce dernier point que celui-ci est parfaitement levé : après avoir entendu l’incroyable passage de son discours, aussi insane que dégoûtant, où il parle, d’une voix pompeuse et mielleuse à la fois, devant le Parlement marocain, avec une sorte d’énamoration dégradante et malsaine, de l’« âge d’or » de Al-Andalus où, durant sept siècles, une grande partie de l’Espagne, et durant quelques décennies, une petite portion du sud de la France, vécut en effet sous le règne d’un califat islamique, avec ce que cela impliquait pour les Chrétiens et les Juifs de ces temps de profondes ténèbres : l’atroce état de dhimmitude. L’on peut même entendre en sous-texte qu’une nouvelle domination de l’islam sur une partie de l’Europe ne serait pas, au fond, pour lui déplaire, à cette navrante et pleutre ordure… ! Et, cerise sur le gâteau empoisonné que lègue ce louche félon à la France, il affirme dès le lendemain, comme à son habitude avec une obscène grandiloquence, que ceux qui voudraient combattre, voire inverser, le cours des choses (dont il est l’un des plus nuisibles et zélés promoteurs), sont, bien sûr, porteurs de « vents mauvais » … ! Quelle inqualifiable ordure, vraiment, j’insiste ! Bref, mon opinion sur ce méprisable individu, et sans nul doute le plus méprisable personnage qu’ait connu la France au long de sa longue, glorieuse et terrible histoire, est définitive : ce sera miracle si, lorsqu’il quittera enfin le pouvoir (mais, n’en doutons pas, s’il pouvait se représenter maintenant à l’élection présidentielle, il serait de nouveau réélu grâce aux votes des islamo-gauchistes et des libéraux-progressistes de tous horizons), la France ne se trouvera pas dans un tel état de dégénérescence woke et de submersion migratoire, qu’elle devra mettre mille ans à renaître de ses cendres — si tant est, après l’effroyable règne de ce diabolique imposteur qui n’a cessé de saper les fondements mêmes de la nation et pratiqué l’inversion des valeurs jusqu’à la folie (grâce, entre autres exemples, à l’aide venimeuse du Syndicat de la magistrature, et autres ignobles instances de l’« État de droit »), qu’elle puisse un jour renaître, eu égard au néo-féminisme taré, assez largement répandu chez les jeunes femmes du Boboland qui réprouvent la maternité au profit d’un narcissisme infiniment névrotique, souvent woke et islamo-progressiste, basé sur la haine de l’homme blanc, du christianisme, et de l’Occident sous toutes ses formes, au final.
(30 octobre 2024)