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Le néo-féminisme, avenir de l'homme?

  • christophe lartas
  • 28 nov. 2024
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 28 janv.


Politique (démences et décadences dans la France des démons) 2 Le néo-féminisme, avenir de l'homme?




Sorcières sur un balai, Francisco de Goya, 1802
Sorcières sur un balai, Francisco de Goya, 1802

Le néo-féminisme, avenir de l'homme? Politique (démences et décadences dans la France des démons) 2


Louis Aragon, poète stalinien de salon qui voulait des « Guépéous partout », disait par ailleurs que « l’avenir de l’homme est la femme ». Il suffit d’observer, et d’écouter, les néo-féministes d’aujourd’hui — summum de la grandiose idiotie qui imprègne toute société décadente — pour vite comprendre qu’avec ces créatures-là, notre avenir tournerait carrément au cauchemar islamo-wokiste le plus absolu.


Qu’il s’agisse de la vindicative, et si inepte, truie adipeuse, Mathilde Panot, très-zélée commissaire politique de la France islamiste ; de l’abominable prêtresse tortilleuse du pharisaïsme woke, autrement dit Sandrine-Rousseau-au-hideux-sourire-de-cadavre ; de la très-haineuse, et désormais embourgeoisée, Danielle Obono, sombre imbécile obsédée par la couleur de sa peau et vivant de son ressentiment d’éternelle victime ; ou de l’effarante déficiente mentale Ersilia Soudais à la voix de bébé geignard et piailleur, dont l’antisémitisme tout guilleret et tout bêta de poupon psychopathe et graisseux n’a d’égal que sa vicieuse, et strictement débile, islamolâtrie, entre autres hideux spécimens du néo-féminisme français, nous avons affaire-là à ce que l’on peut trouver de plus détraqué et de plus stupide chez la gent intellocrate (section bas-bleus), qui pourtant n’est pas en reste, depuis l’irruption de la Révolution française, en ce qui concerne son irrésistible attrait pour toutes les psychoses idéologiques et les aberrations de l’intellect propres à chaque époque.


Passe encore que ces hordes de connasses appartenant toutes, comme il se doit, à des sectes de la gauche folle, alors qu’elles déversent chaque jour leur haine de l’homme blanc (de l'Américain au Russe en passant par le Français) forgée à l’école de foldingues intégrales du type Alice Couffin ou Caroline De Haas, alors qu’elles se pâment d’amour pour le moindre migrant (d’autant plus, cela va de soi, s’il est islamiste, violeur ou tueur), en dépit de leur grotesque « sororité » maintes fois affichée, et hurlée, sur tous les plateaux de télévision de la tentaculaire médiacratie libérale-progressiste française..., passe encore que ces hordes de connasses, disais-je, se fichent comme de l’an quarante du martyre que subissent chaque jour des dizaines de millions de femmes (qu’elles soient chrétiennes ou musulmanes) dans le monde sous le joug du totalitarisme islamique, particulièrement, ces temps-ci, les Afghanes, les Iraniennes, les chrétiennes pakistanaises, nigériennes ou soudanaises, alors qu’elles scrutent avec une maniaquerie névrotique la moindre « micro-agression », le moindre regard un peu appuyé, le moindre geste un peu « déplacé », du misérable mâle blanc occidental, qui, aujourd’hui, est considéré comme un violeur potentiel dès lors qu’il a le mauvais goût de préférer les femmes (s’il en demeure encore quelques unes dans ce monde de lesbiennes bodybuildées et de transgenres barbichus à jupes?) aux hommes, ou de n’être pas un rappeur racisé « anti-fasciste », le chic suprême dans les salons de la bourgeoisie de gôôôche parisienne où aiment à se pavaner ces excellentes « amies du peuple ».


Mais là, depuis les massacres du 7 octobre 2023 en Israël par les fanatiques drogués et sanguinaires du Hamas, et autres variétés sadiques de djihadistes, la démence idéologique — abject mélange de bêtise intellectualiste poussée à l’extrême et de perversion sectaire atteignant au plus haut degré de pavlovisme — de ces thuriféraires de la « sororité » frelatée, avec leur silence complice quand les nervis « antifas » (genre de chacals petit-bourgeois et bourgeois ayant profondément ancrée au fond de soi la haine de la France, et, bien sûr, totalement soumis, comme les chiens haineux qu’ils sont, à leurs maîtres islamistes) s’en prennent avec une violence inouïe, et une lâcheté qui ne l’est pas moins, à de pauvres femmes qui veulent manifester leur solidarité avec les victimes de l’atroce pogrom du 7 octobre ; avec leur insane déni de la réalité concernant l’antisémitisme islamo-gauchiste qui explose en France depuis lors (mais non, je me trompe : les agressions antisémites ne peuvent être le fait que de l’extrême-droite maurassienne, ou des partisans de Drumont, n’est-ce pas ?), et leurs non moins insanes cris d’orfraie contre les rares politiques qui osent voir ce qu’ils voient, et dire ce qu’ils voient, dans la France du traître Macron (puisque c’est bien ce prétentieux mais si abêti, en somme, adulateur du « multiculturalisme » qui a favorisé l’arrivée en France de millions d’antisémites et d’antifrançais en puissance)... avec tout cela, certes, ces néo-féministes, qui n’ont de « féministes » que le nom, mais qui sont bien ces créatures parfaitement désaxées qui voudraient détruite la notion même de « femme », d’« homme », de « maternité », de « nation », de « frontières », que sais-je encore ? nous prouvent définitivement que leur ignominieuse hypocrisie de gauchistes mondaines, leur crasseuse mauvaise foi qui suinte par tous les pores de leur peau, et leur pseudo-féminisme qui s’accommode aussi bien du tchador et de la burqa que du mariage forcé ou de l’excision, ne rougira jamais de honte devant l’énormité de leurs mensonges qui saute désormais aux yeux de tout individu qui n’est pas un imbécile congénital. Non, elles ne rougiront jamais de honte, soyez-en certains, ces bourgeoises mythomaniaques de la gauche folle qui n’auront de cesse qu’elles ne voient le monstrueux avènement d’un califat islamique sur la bimillénaire terre de France ; elles ne rougiront jamais de honte car, n’oubliez jamais : elles appartiennent à la gauche folle, c’est-à-dire à la religion du bien, du bien absolu. — Et, au nom de ce bien absolu, vous le constaterez un peu plus chaque jour, elles se permettront de dire toutes les saloperies découlant de leur aveugle adhésion à chacun des dogmes, fût-ce les plus farfelus et les plus criminels, de cette religion. Pareillement, elles se permettront toutes les compromissions et les collaborations possibles avec les ennemis intérieurs de la France, et ce, sans jamais douter un seul instant de leur « noble » combat pour le « progrès » et la « justice », à l’évidence. Bref, avec la « sororité » néo-féministe contemporaine, vous avez à la fois l’annihilation de toute solidarité féminine, de toute solidarité humaine, de toute solidarité nationale, mais vous récolterez encore, par-dessus le marché, le nec plus ultra de tout ce qu’il peut sommeiller de plus sale et de plus bête dans le cœur dépravé des pseudo-élites de l’Occident woke-progressiste.


(12 novembre 2024)



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