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Décadence + dégénérescence + démence = fin de cycle 1

  • christophe lartas
  • 8 févr.
  • 6 min de lecture

Dernière mise à jour : il y a 4 jours

Politique (démences et décadences dans l'Europe des démons) 4 Décadence + dégénérescence + démence = fin de cycle 1



Arnold Böcklin, La Peste, 1898
Arnold Böcklin, La Peste, 1898

Décadence + dégénérescence + démence = fin de cycle 1 Politique (démences et décadences dans l'Europe des démons) 4


Quand une civilisation porte des générations de jeunes femmes qui ne font plus d’enfants, ou avortent en masse, pour des raisons, la plupart du temps, égocentriques, pragmatiques ou idéologiques ;


quand une civilisation ose affirmer, par le biais d’instances parfaitement officielles, qu’un homme est une femme comme les autres et peut, d'ailleurs, également affirmer qu’il est « enceint », et qu’une femme, pareillement, peut affirmer n’avoir pas de vagin, mais un "trou", et se revendiquer d’être un homme comme les autres ;


quand ces mêmes instances officielles peuvent se permettre de préconiser la déchéance de parentalité concernant des parents qui refuseraient que leur enfant, ou adolescent, tombé sous l’emprise de détraqués transactivistes et autres idéologues du « progressisme », puisse «choisir son genre » (comme dans une enseigne de grande distribution) sur le simple ressenti d’un moment, d’un mois, d’une année ;


tout cela, sans que l’État ou les citoyens ne mettent immédiatement, et radicalement, un terme à cette sorte de délire idéologique LGBTQIA+ (bienvenue au Maboulistan), transhumaniste, et, surtout, pseudo-scientifique ;


quand une civilisation, pour des raisons purement et ignominieusement mercantiles, planifie une euthanasie légale de toute une population de vieillards indigents ou gravement malades sous le prétexte « humaniste », bien sûr, d’aider son prochain et de soulager ses souffrances (en France, cela s'organise, cela va de soi, sous la férule du névropathe narcissique, Emmanuel Macron) ;


quand une civilisation engendre des populations entières qui vivent, tels des robots mécaniques voués au matérialisme et au narcissisme les plus obscènes, dans le déni complet de la réalité de la mort ; axe fondamental de l'existence humaine qui a pourtant, de façon parfaitement naturelle, préoccupé et interrogé l’homme depuis la nuit des temps ;


quand une civilisation abrite en son sein un cénacle d'authentiques démons — la Cour Pénale internationale — qui ose poursuivre pour « crimes contre l’humanité » et « crimes de guerre » un petit état, Israël (petit par la taille, mais grand par la bravoure), qui vient de subir un monstrueux pogrom dû à un terrorisme islamiste des plus sanguinaires, et se trouve, de surcroît, dans l’obligation impérative de se battre sur sept fronts différents, presque en totale solitude, pour préserver son peuple et son territoire historique ;


quand une civilisation abrite en son sein une magistrature avilie, perverse, criminolâtre, qui pratique une caricature de justice allant toujours dans le sens de l’idéologie islamo-gauchiste, de la religion woke, de la théorie du genre, du racialisme, du progressisme, et ce, avec une mauvaise foi, une malhonnêteté crasse et une malveillance sans égales ;


quand cette même justice est capable d’emprisonner un père ou une mère parce que celle-là ou celui-ci refuse que son enfant, après avoir subi un lavage de cerveau du lobby transgenre, change de sexe en se détruisant aussi bien chimiquement que chirurgicalement, et ce, de façon irréversible (ce qui, par ailleurs, entraîne souvent, postérieurement à la « transition de genre », nombre de suicides) ;


quand cette même justice totalitaire condamne de façon arbitraire tout individu qui ose voir ce qu’il voit et dire ce qu’il voit se passer en France et en Europe de l’Ouest : l’explosion des crimes et des délits en tous genres (des plus abominables aux plus banals), l’augmentation spectaculaire de la consommation des stupéfiants de toutes sortes, l'accélération de l’arrivée massive de populations en général hostiles à la France, et, par ailleurs, totalement étrangères à la civilisation européenne, ce qui fait souvent basculer leur hostilité dans la haine franche, bestiale, — et le passage à l’acte ;


quand cette même justice, illégitime et partiale, laisse impunément agir des milices de petites pourritures dénommées, de façon grotesque, « antifas », alors que ces milices de hyènes et de lâches s’en prennent, toujours à dix contre un, à des personnes dont le seul tort est de n’être pas converties à la religion fanatique de la gauche folle ; alors que ces ignobles milices s’en prennent aux librairies qui osent vendre des livres qui déplaisent à leur cerveau lobotomisé ou détraqué ; alors que ces milices de bourgeois et petit-bourgeois de gauche, dépravés et sectaires, s’en prennent à des français dont le seul tort est d’être de confession juive, s’en prennent à des jeunes femmes dont le seul tort est de vouloir, à juste raison, que des migrants criminels, qui les considèrent seulement comme des proies bonnes à être violées, martyrisées et assassinées, soient expulsés de la France bimillénaire ;


quand une civilisation porte au pouvoir, depuis des décennies, des pseudo-élites incultes, abâtardies, veules, stupides, qui, d’une façon ou d’une autre, jettent la souveraineté de la France aux chiens, abandonnent les frontières de la France aux mains des maffias ethniques et des crapules immigrationnistes (vivant grassement des subventions d'un État devenu sénile) ; abandonnent toute décision politique d’importance à une cohorte de magistrats diaboliques qui n’ont de cesse d'excuser et de choyer le délinquant haineux, le criminel psychopathe, et de mépriser ou ignorer la victime, quelle qu'elle soit ; précipitent la France dans l’abandon, le déclin, l’anarchie, l’appauvrissement général (hormis la caste maudite de l’oligarchie mondialiste et multiculturaliste), l’absurdité bureaucratique, la laideur architecturale, l’imposture générale de l’art et l’effacement de sa propre histoire au profit d’une histoire dénaturée, morbide et insensée, servant uniquement les desseins des ennemis de la France et des traîtres qui les soutiennent en se prosternant à leurs pieds — en leur léchant constamment, avec fougue, les pieds ;


quand une civilisation octroie des salaires ou des revenus de misère à des millions de gens qui sont essentiels à la société (soignants, forces de l’ordre, ouvriers, paysans, aides à la personne, artisans, etc....) tandis que, par le jeu du Divin Marché, elle distribue des salaires et des revenus obscènes, invraisemblables, à des jongleurs de balle, des Kens ou des Barbies influenceurs du Web, des trafiquants de drogue, des charlatans de l’« art contemporain », des animateurs de télévision soumis à toutes les doxas du vomitif « politiquement correct » ... ;


quand une civilisation engendre une classe entière — les li-li bo-bos — qui ne vit que dans le déni de réalité absolu (« pas d’amalgame », « no pasaran », « faut pas stigmatiser », « vous n’aurez pas ma haine »), la surexcitation narcissique perpétuelle, et, paradoxalement, la haine de soi (projetée de façon perverse sur la fraction résistante de la population) et de l’histoire de sa patrie, de sa civilisation, de sa culture, de ses grands hommes ; engendre depuis des décennies une classe entière qui, par terreur absolue du réel et des lendemains sinistres qui s’annoncent, étiquette de façon pavlovienne toute personne qui ose dénoncer cette laide réalité, et ces possibles lendemains infernaux, comme « fasciste », « raciste », « xénophobe », « transphobe », « islamophobe », « populiste », « homophobe », « complotiste », etc., faisant de la sorte le lit des totalitarismes les plus démoniaques d’aujourd’hui et demain ;


quand une civilisation a perdu tout sens du sacré, de la transcendance, du mysticisme, voire du religieux le plus commun, au profit d’une cupidité des plus frénétiques, d’un égocentrisme des plus pathologiques ; au profit d’idéologies politiques plus folles et plus autodestructrices les unes que les autres (immigrationnisme, libre-échangisme, européisme technocratique, progressisme, écolo-gauchisme, mondialisme, néo-féminisme, transhumanisme, antispécisme, néolibéralisme, catholicisme de gôche, transgenrisme, islamo-gauchisme) ;


quand une civilisation, le plus sérieusement du monde, encourage la dénaturation et la corruption de ses diverses langues au moyen de la si ridicule, et absolument grotesque, « écriture inclusive », non seulement en permettant son immonde usage dans les universités (où un troupeau de dirigeants peureux et mous se soumettent avec complaisance au joug d’une jeunesse gauchiste, ou woke, décérébrée et fanatisée), mais encore au sein de certaines strates administratives de l’État, voire — déliquescence suprême — au sein de certaines administrations militaires, telles celles de l'OTAN ;


quand une civilisation laisse la plus complète liberté à une masse grégaire d’intellocrates dépravés, du type Judith Butler ou Andreas Malm, de se réjouir ouvertement, avec le sadisme stupide et fanatique qui a toujours caractérisé la religiosité insane de gauche, d’un massacre monstrueux où les pires abominations furent commises par une légion d’islamiques drogués sur nombre de femmes, d’hommes et d’enfants, et cela seulement parce qu’ils étaient juifs et citoyens israéliens, alors que cette même civilisation, par le biais de ces fourmilières de politicastres et de médiacrates, pousse des cris d’orfraie lorsque le moindre citoyen européen remet en cause l’immigrationnisme fou (car absolument hostile aux populations européennes) qui est imposé par une pseudo-élite tout aussi folle (et tout aussi parfaitement hostile) à ses populations ;


quand une civilisation laisse également la totale permission, jusque dans les universités et diverses instances officielles, à une cohorte d’intellocrates dépravés, alliés à des déficients mentaux atteints du virus de la rage, de clamer, avec un mélange de mauvaise foi idéologique et d’idiotie fanatique, que les fondamentaux mêmes de ladite civilisation, comme par exemple la biologie, les mathématiques, la physique, ou les faits historiques les plus avérés, ne sont que la construction « raciste » d’un prétendu « privilège blanc » ;


quand une civilisation érige l’imposture et l’escroquerie les plus totales au rang d’activité créatrice et artistique avec les produits culturels, manufacturiers et financiers, nommés bêtement, et fallacieusement, « art contemporain » ;


(04 décembre 2024 — 30 janvier 2025)


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